La simple évidence de la beauté, Brigitte Maillard
Monde en poésie éditions accueille
La simple
évidence de la beauté de Brigitte
Maillard.
Parution juin 2016 & février 2018 - 54 pages 8 € -
Ces poèmes ont été édités en 2011 par les éditions
Atlantica, suivi d’une réédition en juillet 2013.
C’est maintenant Monde en poésie éditions qui
fait paraître cette nouvelle édition
en juin 2016 & 2018 dans sa collection L'écriture du
poète
Présentation en tout
début d'émission de La simple évidence de la beauté par Christian Saint-Paul
dans le cadre de son émission du 17
novembre 2016, Les Poètes sur Radio Occitania que vous pouvez
retrouver ici
Présentation de La simple évidence de la beauté sur Radio Kerne, en langue bretonne par Maryse Evrin
Présentation de La simple évidence de la beauté sur Radio Kerne, en langue bretonne par Maryse Evrin
En écoute cet extrait Tu verras. Piano : Christophe Jacquemin
de La simple évidence de la beauté : La beauté à l'air libre -
& Acquisition de Quimper Bretagne Occidentale
Médiathèque des Ursulines juin 2017
&
https://youtu.be/Nl3oGKN07-g
Poèmes Revue numérique Ce qui reste
Parution d’extraits de La simple évidence de la beauté dans
la revue du 3ème Millénaire,
Spiritualité de l’art N° 108 été 2013
Présentation de La simple évidence de la beauté par
Leili Anvar dans l’émission Les Racines du ciel « Le
féminin et de la pudeur dans le judaïsme » le 19 mai 2013 France Culture
Notes de Lecture (extraits)
On reçoit ce livre comme
une confidence murmurée « entre le souffle et l’être », dans les tremblements
secrets où surgissent et s’affrontent « des envies de vivre et de mourir ».
Avec élégance, Brigitte Maillard dit la déchirure d’aimer mais aussi sa
plénitude « dans le rêve du chemin ». Avec l’amour pour viatique, elle «
s’origine » et se fait « orpailleur » de la langue, pour saisir la
beauté du monde. « La poésie est à pied d’œuvre ». Car rendre le monde à sa
beauté première reste le défi de l’art.
Marie-Josée Christien
J'ai ouvert la simple évidence de la beauté et la beauté m'est apparue
d'une simplicité évidente, l’inconnu s' offre à nos sens, enfin palpable et les
questions répondent lumineusement à toutes nos quêtes intérieures. La poésie des
éléments nous restitue le panthéisme primitif, la pudeur des sentiments
suggérés étreint l'âme avec la force des découvertes originelles.
Comment peut-on ainsi osciller entre les sens confondus et la sagesse, la
certitude et le mystère ?
Tous les contraires se concilient harmonieusement, les angles virils et la
rondeur, l'or et le sable, la cabane et le palais. La poétesse est une
alchimiste, une orfèvre qui détient les anciens secrets et les cisèle de ses
intuitions.
Ouvrir ce recueil, c'est prendre le risque de l'envoûtement, c'est passer de
l'état profane à celui de l'initié.
Isabelle Jacoby" Donne-toi à l'espace / il est ta nature ", écrit Brigitte Maillard dans la plaquette que publie les éditions Atlantica, intitulée " La simple évidence de la beauté ". Belle injonction à " S'ouvrir à la vie qui s'ouvre "et à la sensualité, dans un univers où l'on voit " danser le vide autour du rien". Un monde où " on n'est pas ce qu'on veut être / On naît au fil de soi" mais où l'évidence de la beauté et la lumière incitent à "risquer l'aventure".
Michel Baglin - Revue Texture
Lyrisme de bon aloi « fleuri par l'ivresse des embruns » (p. 5). Chaque poème
est décanté de ses scories, chaque image est à sa juste place pour dire les
envies de vivre et de mourir. On entre dans cette poésie comme « on entre à la
porte du désir », Brigitte Maillard écrit au stylet, elle guette l'aile de
l'oiseau et c'est joie de la suivre au palais de ses mirages secrets. On
voudrait en lire davantage, cependant. Afin que son visage soit davantage « à
découvert ».
Jean Luc Maxence - Le Nouvel Athanor
Jean Luc Maxence - Le Nouvel Athanor
"Le poète, cet être debout qui porte avec dignité la tragédie de la
destinée humaine, ne craint pas d’entrer dans l’inexprimable, l’indicible qui
prend sa source dans l’Invisible. Il a affiné sa réceptivité et perçoit
l’imperceptible, ce pur espace où la beauté réside dès l’origine. Le poète
invite nos regards qui s’usent, nos cerveaux qui s’engourdissent, à puiser à la
source vivifiante, à laisser resurgir le souffle impersonnel. Comment renaître
si le pas n’est pas solitaire, « pris sous la cendre », pas qui va au
rythme du premier monde ?
Naître à soi, « au fil de soi », c’est vivre, au plus profond, dans cette haute réalité, d’une vibration intense, qu’est l’Invisible. Seul le solitaire en permet le déploiement, dans sa conscience devenue pure perception. Le mot du poète est un geste qui fait signe, qui indique le point de départ, la métamorphose universelle, la vie qui se renouvelle à l’infini. « Donne-toi à l’espace, il est ta nature » : le poète le sait, qui accueille ce qui est vivant dans l’espace originel que le silence seul anime, silence qui « se détourne pour te voir revenir en son sein », silence qui est nié en ces temps superficiels.
« Plonger dans la nuit noire… et surgir des limites inondée de lumière »… Le poète chemine sur cette voie singulière de nature spirituelle, voie de longue distance où le but se perd et où l’expérience de la nuit, douloureuse, est l’acte d’amour absolu qui nous dévoile la surabondance de lumière. Brigitte Maillard en prend le risque."
Nicole Montineri Naître à soi, « au fil de soi », c’est vivre, au plus profond, dans cette haute réalité, d’une vibration intense, qu’est l’Invisible. Seul le solitaire en permet le déploiement, dans sa conscience devenue pure perception. Le mot du poète est un geste qui fait signe, qui indique le point de départ, la métamorphose universelle, la vie qui se renouvelle à l’infini. « Donne-toi à l’espace, il est ta nature » : le poète le sait, qui accueille ce qui est vivant dans l’espace originel que le silence seul anime, silence qui « se détourne pour te voir revenir en son sein », silence qui est nié en ces temps superficiels.
« Plonger dans la nuit noire… et surgir des limites inondée de lumière »… Le poète chemine sur cette voie singulière de nature spirituelle, voie de longue distance où le but se perd et où l’expérience de la nuit, douloureuse, est l’acte d’amour absolu qui nous dévoile la surabondance de lumière. Brigitte Maillard en prend le risque."